Pourquoi photographier à la chambre en 2013 ?

Chambre Lorillon 1915 – Objectif Berthio 190 mm

Et pourquoi pas !

Quand j’ai débuté la photographie dans les années 70, l’argentique régnait en maître. Si mes premières envies me faisait pencher pour le cinéma avec les réalisateurs de la nouvelle vague, la caméra à l’épaule et la lecture conjointe et assidue des ‘cahiers du cinéma’ et de ‘ciné pratique’, la fermeture de l’idhec en 68 m’ont orienté vers d’autres horizons. Il faut y ajouter aussi  la suggestion paternelle. Faire du cinéma 16 mm en amateur était au dessus de mes moyens, aussi je le suis plus naturellement tourné vers la photo et le noir et blanc plus précisément. Mes premiers profs Lartigue , Diane Arbus, Denis Boubat etc …

A partir de 1975, installé en Touraine j’ai côtoyé divers passionnés de photographie et cela m’a ouvert différents horizons principalement le développement et le tirage en n/b. Ce qui fait que arrive à maîtriser la création photographique de À à Z. Au début j’ai utilisé des boîtiers 24×36 mm, mais très vite l’attrait du moyen format m’a appelé avec le Mamiya 645 et le Lubitel 2. J’ai pu mesurer l’influence de la surface exposée sur la richesse et le finesse d’une photo en fait sur la qualité.

J’ai du attendre ma retraite pour tester le format 6×7 avec le mammouth de chez Pentax, et aussi construire deux stenopes un 9×12 et un 13×18 pour craquer pour la chambre. J’ai pu utiliser une chambre Lorillon de 1915 grâce à un ami et acquérir une Sinar F début 2022.

 

 

 

 

 

 

 

 

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